Même son de cloche chez ses concurrents d’à côté. À la Tanière, au Lutétia ou encore au Kafein, s’il y a en effet davantage de fréquentation que d’habitude, ce n’est pas non plus comparable à une première journée de festival d’avant Covid.De la nostalgieAprès deux éditions Mimos compliquées, celle de 2023 promet le sentiment d’un retour à la normale. Mais les changements de cette année laissent certains commerçants plus amers. « Contrairement à une clientèle néerlandaise ou belge, le public de Mimos dépense plus quand il consomme », souligne Cédric, le patron de Vinobilis.